Le déplacement à Castanet n’a pas été de tout repos pour les Marssacois et ce, pour plusieurs raisons : la première, la plus logique est en raison de la qualité des Castanéens qui ne sont pas pour rien les favoris pour l’accession en Nationale 3. La deuxième revient à l‘arbitre de la rencontre qui a distribué la bagatelle de quatre cartons jaunes et pas un seul petit à Castanet ! Heureusement, aucun des joueurs n’est concerné par une éventuelle suspension en coupe de France. La troisième est l’état de fatigue des joueurs qui ont eu beaucoup de mal à contenir les assauts des locaux. Les Marssacois ont dû en effet puiser dans leurs réserves déjà bien entamées pour préserver le bon point du nul dans les trente dernières minutes de la rencontre. Ce sera bien sûr toute la problématique des entraîneurs qui ont placé cette semaine sous le signe de la récupération. Et il le faudra car le prochain adversaire qui vient visiter le stade D. Gach est l’U.S. Cazeres, l’équipe en forme du moment. Les Cazériens viennent en effet d’aligner trois victoires consécutives dont la dernière face à Colomiers, le leader.
Préparer la venue de Pau
Avec un match de retard, ils sont potentiellement les premiers du championnat et cela passe par une victoire à Marssac. C’est dire la qualité des visiteurs. En face, il y a les Marssacois qui ne manquent pas non plus de qualités largement démontrées au cours de la première période de Castanet qualifiée d’intéressante par les locaux, un véritable compliment venant de leur part. Les entraîneurs devront faire des choix pour cette réception avec le retour probable de Ruiz et l’absence de blessés ou suspendus. Après, il restera l’appui du public pour rester maître à D. Gach et préparer au mieux la réception en coupe de France de Pau le samedi 7 décembre à 19 heures au stade Maurice Rigaud d’Albi. De façon à préparer au mieux cette rencontre, le club organise une pré-vente de billets au restaurant bar de l’Atipyc à Marssac, ouvert tous les jours sans interruption.
Marssac-Cazères, samedi à 19 heures à D. Gach.